– Si l’APC est bénéfique pour les élèves, comment accepter qu’elle soit facultative ? – Si l’APC peut aider les élèves en difficultés, comment accepter que certains en soient privés ? – Si les élèves ont besoin de journées d’enseignement moins longues, comment accepter que certains élèves, souvent les plus en difficultés, aient des journées rallongées ? La liste des paradoxes de l’APC est bien longue... Pour toutes ces raisons, dès la rentrée 2016, le SNUip/FSU engagera une campagne pour la fin des APC !