Si nous sommes arrivés à au Groupe de travail (GT) du 14 janvier, quelque peu de mauvaise humeur (cf. publication précédente), c’est dépités, effondrés, atterrés, que nous en sommes ressortis. Ce premier GT nous a rappelé ceux que nous avions pu vivre sous l’ère Sarkozy. Une époque où la répartition des « moyens » se faisait... sans moyen et où l'administration trouvait des postes en fermant des classes à tour de bras.